« Être », mon premier livre, c’est le récit de personnages étonnants rencontrés au fil de ma carrière. Un meurtrier. Une femme qui trouve refuge dans un monastère dans l’Himalaya. Une autre qui adopte des centaines d’enfants. Et même un banquier devenu boulanger. Certains sont célèbres, d’autres absolument inconnus. Mais chacun est une inspiration.

Leonard Cohen disait : en toute chose il y a une fissure, c’est par là qu’entre la lumière. Seriez-vous, vous aussi, porteur de lumière?

Être, la conférence, c’est cette idée qu’il y a souvent de la lumière là où on ne la voit pas. Heureusement, parce que c’est la définition de l’espoir.

Avec Alain Crevier, journaliste, animateur, auteur depuis plus de quarante ans. Son premier livre, ÊTRE, nos quêtes de sens et de liberté, est paru chez Édito récemment.

Comment la science peut-elle nous aider à trouver Dieu et un sens à la vie ?

Comment allumer l’espérance (dans l’esprit du Jubilé 2025 « Pèlerins d’espérance ») ?

Les connaissances scientifiques les plus actuelles dépeignent un Dieu créateur, non seulement à l’origine de tout l’univers mais qui donne sens à la vie dans son ensemble. Ce point de départ aide à comprendre que la foi et la raison sont, au fond, plus compatibles que jamais. Nous sommes invités à rejoindre l’essentiel de la Bible. Ouvrons les portes et les fenêtres de l’Église pour laisser entrer l’air frais de l’Évangile ! Car la foi, lorsqu’elle est vécue dans la confiance et nourrie par la grâce, transforme notre regard sur le monde. Elle nous apaise, nous recentre… et nous pousse à devenir des passeurs d’espérance.

Avec Eugène Aucoin, auteur et conférencier reconnu, formateur auprès de milliers de personnes dans les milieux universitaires et grand public. Diacre de formation, il a été invité à prendre la parole aux quatre coins du monde sur des sujets profonds qu’il explore dans ses ouvrages consacrés à la foi chrétienne. Son approche accessible et inspirante fait de lui un passeur de sens, capable de relier les grandes questions spirituelles aux réalités de notre temps.

Dans son roman Sur les hauteurs du Mont Thoreau Catherine Mavrikakis explore une réflexion sur l’aide médicale à mourir et sur l’idée d’une mort sublimée ou réinventée à travers l’œuvre d’art. Il s’agirait lors de la discussion dans le contexte de la fiction de penser à la place du réconfort de l’art dans la vie et la mort. L’imaginaire d’un dépassement esthétique, par la création, de la finitude de la vie sera abordé.

S’inscrivant dans une réflexion sur les lois que donne à penser l’aide médicale à mourir au Québec, Mavrikakis avec l’aide de Tolstoi (La mort Ivan Ilitch et de quelques auteurs et autrices) réfléchira à la représentation de la fin de la vie en art.

Avec Catherine Mavrikakis, professeure au département des littératures de langue française de l’Université de Montréal, écrivaine