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MISÉRICORDE QUI CHANGE NOS VIES

« Pour pouvoir pratiquer la miséricorde, la communauté doit devenir consciente des besoins de son milieu social, elle doit entendre les cris des hommes et des femmes qui la composent ». C’est avec ces paroles de Paul-André Durocher, Archevêque de Gatineau, dans son nouveau livre : « Appelé par mon nom, envoyé en son nom. Causeries sur l’Église en sortie », publié aux Éditions Novalis, que j’aimerais appuyer ma réflexion en ce deuxième dimanche de Pâques, dimanche de la Miséricorde.

Extrait de l’éditorial d’Édouard Shatov, Infolettre du Montmartre du dimanche 28 avril 2019

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PÂQUES, QUE L’ON Y CROIT OU PAS

L’éditorial de MONIQUE LORTIE

« Si j’osais, je dirais : il n’est pas facile d’être catholique de nos jours. Alors vivement mettons Pâques au rang de patrimoine mondial de l’humanité. »

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L’ART DE LA RENAISSANCE

Nous accepter comme nous sommes, voilà un des secrets pour une meilleure qualité de vie ! C’est cette reconnaissance de notre réalité sous toutes ses facettes qu’on appelle l’HUMILITÉ.

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5 à 7 au Montmartre

Vendredi 12 avril
Personne-ressource: Louis-Philippe Lampron, professeur titulaire, faculté de droit, Université Laval

Dans notre société, la liberté d’expression est le droit reconnu à l’individu de faire savoir son point de vue à son entourage. Comment exprimer notre point de vue quand il y a des tensions dans notre espace personnel et social?

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PERMIS D’ESPÉRER

Au moment où je ne dirais pas la chrétienté mais le catholicisme semble en mauvaise posture ; au moment où il semble correspondre pour nous occidentaux à une religiosité dont on ne veut plus depuis Mai 68 à tout le moins ; au moment où les experts annoncent à qui mieux mieux et en boucle qu’une « prochaine crise va nous frapper encore plus fort qu’en 2008 », qu’un « choc social et économique est inévitable », que « nous devons nous préparer à frapper le mur » ; qui coordonnera une échelle des valeurs valable pour l’ensemble de l’humanité ? Cette question, je l’ai lue chez Alexandre Soljénitsyne dans son discours de Stockholm en vue de la réception de son prix Nobel de littérature en 1970. Et je l’ai trouvée très pertinente. Elle va droit au sens de la vie, je crois.

Car au-delà de la désespérance médiatique qui fait aujourd’hui la fortune des écrivains à la mode, et de leurs éditeurs, celle aussi des commentateurs de tout poil, il faut peut-être, pour nous-mêmes, oser poser la question entendue lors d’une émission de La Grande Librairie, sur TV5 : Y a-t-il dans ce monde deux ou trois choses qui nous permettent d’espérer ?

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