Le Cœur de Dieu est entièrement dédié à démontrer jusqu’à quel degré il est tourné vers nous. Saint Jean le rappelle dans une de ses lettres : « Dieu est amour. » L’Apôtre nous le confirme parce qu’il en a été un témoin privilégié et qu’il ne peut s’empêcher de répandre cette bonne nouvelle. C’est ce qu’il a vu, entendu, et touché du Verbe de Vie. C’est dans la nature de Dieu d’aimer. Il est Amour.
Mgr Gérald Cyprien Lacroix, Homélie du 19 juin 2020
La contemplation du cœur de Jésus nous invite à un travail intérieur pour venir au secours les uns des autres, pour nous présenter ensemble, tout simplement, devant le regard d’amour de notre Père.
Mgr Marc Pelchat, Homélie du 18 juin 2020
Le Christ ne nous invite jamais au repliement sur nous-mêmes. Accueillir son Amour se fait toujours dans un double mouvement : Un mouvement intérieur qui est une entrée en soi pour approfondir et goûter cet Amour et un mouvement extérieur qui est comme une impulsion vers les autres, qui est sortie de soi.
Mgr Martin Laliberté, Homélie du 17 juin 2020
Un nouveau format cette année pour la retraite à l’occasion de la fête du Sacré-Cœur qui va se dérouler en trois jours, du mercredi 17 juin au vendredi 19 juin prochains, où la célébration eucharistique sera présidée à 10 heures le matin respectivement par messeigneurs Martin Laliberté, Marc Pelchat et Gérald Cyprien Lacroix. Ce dernier donnera aussi une réflexion mercredi et jeudi à 14 heures via la chaîne YouTube ECDQ.tv. La même chaîne va diffuser la célébration eucharistique ainsi que la prière du mercredi et du jeudi soirs à 19 heures.
Les coups de foudre ! Ils sont nombreux dans la vie ! Citons-en quelques-uns : coups de foudre amoureux, musicaux, intellectuels, scientifiques, alimentaires, spirituels … et tant d’autres ! Ces jours-ci, j’ai vécu un véritable coup de foudre de réflexion suscité par le livre d’Isabelle de Gaulmyn, publié récemment aux éditions Novalis. Son titre étonne et provoque : « Les cathos n’ont pas dit leur dernier mot ». VRAIMENT ?
Édouard Shatov, Éditorial du dimanche 14 juin 2020
Et ce qui nous fait vivre, c’est le don de la vie du Christ, ce que nous appelons son sacrifice ; mais il ne faut pas nous méprendre sur le sens du mot « sacrifice ». Tout au long de l’histoire biblique, on a assisté à une transformation, une véritable conversion de la notion de sacrifice ; on peut déceler plusieurs étapes dans cette pédagogie qui a pris des siècles.
Marie-Noëlle Thabut, Commentaire de l’Évangile du dimanche 14 juin 2020